Logo de ticket - Boutique

La Ligne Bleue N°27

06 Nov 2015 09:00   /   NEWSLETTER

Retrouvez l’ensemble des actualités de la Newsletter fédérale, datant du mois de Novembre 2015.


Édito de Luc Tardif. « Une nouvelle ère »

Les enjeux de cette nouvelle saison sont à l’image du niveau de plus en plus relevé du hockey français. La présence tricolore en CHL a permis de valider – avec 2 équipes cette saison – les progrès  (victoires sur Espoo et Berlin) et le chemin à parcourir pour rejoindre le niveau des Ligues pros voisines. Pro pour professionnalisme ! La Ligue Magnus se mobilise dans ce sens et les clubs se structurent pas à pas. La concentration à 12 membres, qui sera effective au lancement de la saison 2016-2017, marquera une nouvelle étape du processus avec un effet domino et émulateur sur les niveaux inférieurs.

Je tiens à souhaiter bonne chance, des matches disputés et spectaculaires pour toutes les équipes de nos championnats. Emotions garanties aussi sur les écrans de L’Équipe 21 qui s’installe comme un puissant relai avec des retransmissions en direct et en clair le samedi après-midi. Un engagement long terme, gage d’investissements et d’implication, qui offre une vitrine aux sponsors des clubs et de la Ligue. A ce titre, innovation notable du début de saison avec le casque de top scorer Synerglace porté par le meilleur marqueur de chacune des 14 équipes de la Ligue Magnus. Suivez le bleu !!

Et suivez les Bleus !! La préparation du dernier Mondial avant Paris 2017 est déjà lancée. Dave Henderson et Pierre Pousse vont faire monter en puissance le collectif avec des rencontres amicales dont des sérieux tests face au Danemark, à la Norvège et à la Hongrie du 5 au 7 novembre à Stavanger, en Norvège.

Le rendez-vous de St Pétersbourg, Championnat du Monde Élite début mai 2016 sera intense tout comme les travaux d’organisation et de mobilisation pour Paris 2017 l’année suivante. L’État, les collectivités locales et la Ville de Paris sont derrière nous. La mobilisation grimpe, les réunions s’enchainent partout en France…pour vous aider à rejoindre l’évènement.

Suivez les Bleus, c’est aussi suivre le Hockey Tour déjà passé par Rouen et Amiens, il arrive à Strasbourg, Brest et Angers, et continuera à sillonner la France pour que chacun se sente impliqué et montre sa détermination. La mise en vente des billets – exclusivement à destination de la famille du hockey – est une question de jours. On compte sur vous !

Gageons que la famille du hockey sera au rendez-vous avec un écrin récemment dévoilé et renommé. L’AccorHôtels Arena de Paris Bercy accueillera la Coupe de France le 3 janvier pour une nouvelle occasion de faire le plein et lancer la grande année 2016 qui verra le Centre National Fédéral entrer en fonction avec l’Aren’Ice de Cergy-Pontoise. Pour ses 10 ans, la FFHG ouvrira son nouveau siège fédéral et un Pôle France avec 2 pistes dont une d’une capacité de 3 000 places.

Cet outil nous plongera dans une nouvelle ère déjà dynamisée par un logo FFHG modernisé, sémillant et fier symbole de notre état d’esprit.

En accueillant un 20 000ème licencié, à quelques coups de patins de la fin d’année, nous avons passé un gros cap presque discrètement, mais sûrement, nous avançons. C’est ainsi, avec nos valeurs d’humilité, que je souhaite que, tous ensemble, nous franchissions les défis à venir.

Luc Tardif
Président de la FFHG

(c) Photos : X. Lainé, A.Berteau


CDF. Arnaud Briand : « Un rendez-vous incontournable »

Arnaud Briand, ancien international de 1991 à 2004 et capitaine de l’équipe de France de 2000 à 2004, élu au Comité Directeur depuis la naissance de la FFHG en 2006, est devenu depuis cette saison le « Jean-Pierre Papin » du hockey sur glace en prenant la charge de l’organisation de la Coupe de France. Connu pour son esprit d’équipe exemplaire, l’ancien meneur de jeu des Bleus est incontestablement une figure emblématique du hockey sur glace français. Engagé et passionné en tant que bénévole depuis la création de la FFHG, c’est tout naturellement qu’Arnaud Briand a pris les rênes de la Coupe de France. Retour avec lui sur son engagement et sur la compétition qui regroupe chaque année près de 14 000 spectateurs pour sa finale à Bercy. 

Vous êtes le premier élu à prendre en charge une telle mission. Pourquoi et quel rôle allez-vous jouer ?

A.B : La Fédération cherche depuis quelques années à mieux identifier la Coupe de France, à en faire un produit référent. Nécessairement, il fallait avoir une personne référente, facilement identifiable, en face. C’est la raison qui a poussé Luc Tardif, le Président, à me proposer cette mission. C’est la première saison pour moi, et le calendrier est un peu bousculé par la finale qui a lieu particulièrement tôt cette année, en raison de la réouverture du POPB, l’AccorHôtels Arena, anciennement Bercy. Mais j’ai toujours eu envie de donner de mon temps pour ce sport que j’ai aimé et que j’aime toujours, c’est donc naturellement que j’ai accepté !

Quels sont les objectifs ?

Avec la structuration de la Ligue Magnus et la disparition de la Coupe de la Ligue, la Coupe de France va prendre de plus en plus de place dans le paysage du hockey sur glace français. Il va donc falloir trouver les bons arguments pour rendre la compétition encore plus intéressante et faire en sorte que l’ensemble des clubs, quelle que soit la division, ait envie de participer à ce rendez-vous incontournable. En parallèle, il faut rendre la compétition plus lisible et faire des tirages au sort de vrais événements, convier les clubs en lice, et pourquoi pas les retransmettre sur internet en direct ? Nous sommes conscients qu’à l’heure du digital, avec les réseaux sociaux, toutes les informations se propagent en quelques secondes  En ce sens, une réflexion sur la formule spécifique « Coupe de France » va être menée au sein des commissions Magnus/D1/D2/D3.

La Coupe de France va retrouver le POPB, l’AccorHôtels Arena, anciennement Bercy. Ce sera le tout premier événement de l’année ! Quels sont les grands changements ?

En effet, cette nouvelle arène va être un formidable écrin pour la Coupe de France. L’édition 2007 fut la première finale à être jouée au Palais Omnisports de Paris-Bercy, devant une affluence record (12 215 spectateurs). Faire la finale, la grande fête du hockey, dans une salle telle que celle de l’AccorHôtels Arena, c’est une occasion qui n’existait jusque-là qu’une seule fois par an ! Nous partons en éclaireurs dans cette nouvelle salle, avant le test match contre le Danemark en avril, avant le Mondial en 2017… Et nous sommes très fiers que la fête du hockey sur glace français soit si bien installée et ait lieu probablement dans la plus belle arène française.

(c) Photos : A.Maubert, J.Zwikel


LM – L’Équipe 21. Dans les coulisses du hockey à la télévision

La Fédération Française de Hockey sur Glace et L’Équipe 21 ont prolongé leur partenariat pour les trois prochaines saisons. Les téléspectateurs pourront ainsi assister à un match de saison régulière par mois, les samedis en direct à 15h ainsi que les matches décisifs de la finale de Ligue Magnus. Les finales de la Coupe de France et de la Coupe de la Ligue seront également à retrouver en exclusivité, respectivement le 3 janvier et le 16 février. Côté international, deux rencontres exceptionnelles seront à suivre à partir du mois d’avril 2016 : France – Danemark puis France – Slovaquie.

La régie de L’Équipe 21 nous a ouvert ses portes à l’occasion du match opposant Rouen à Gap le 10 octobre dernier. Reportage de l’autre côté du petit écran.

Les secondes s’égrènent dans un silence de glace. 4, 3, 2, 1… et c’est toute la régie qui est en marche. Il est 14h50 lorsque l’Équipe 21 démarre la diffusion du match Rouen-Gap à la patinoire de l’Île-Lacroix. Au moment où la régie presse le bouton du générique, le direct n’en est qu’à ses balbutiements. Pourtant la journée de l’équipe technique est déjà très longue.

Il est 6 heures lorsqu’arrivent sur les berges de Seine les premiers techniciens, chargés de l’installation. Des dizaines de câbles sont tirés les uns après les autres dans un rythme machinal. « On a beau être habitué à répéter les gestes, il faut toujours s’adapter au milieu dans lequel on évolue », relève Julien, chef de car. Et l’expérience ne manque pas pour ce jeune homme déjà marqué par de nombreux tournages à des occasions très différentes. « Dans la télévision, nous vivons des expériences uniques, mes plus beaux souvenirs sont de loin sur le tournage de Fort Boyard, se remémore-t-il, en tirant  un énième câble dans l’enceinte de l’Ile-Lacroix. C’est un environnement beaucoup plus poussiéreux qu’une patinoire », ironise celui qui en est déjà à sa dixième année dans la profession.

À quelques mètres au loin, Jean-Marie Lapalus veille au grain. Le directeur de production a le souci du détail ; aucun contretemps n’est permis. Derrière la cage, il résout la mise en place d’une caméra. « Mon rôle est de faire la symbiose entre l’organisation et la manifestation », explique-t-il, tout en gardant un œil attentif sur l’installation. La production réalise des repérages pour le choix de l’installation des caméras et surtout pour éviter les surprises le jour J. « Plus il y a de travail en amont et moins nous devons intervenir sur le terrain », assure-t-il.

Pendant que les techniciens finalisent l’agencement du dispositif, le réalisateur, Cyril Martinetto et son équipe de production arrivent : il est déjà l’heure de faire les premiers tests. Une routine pour le réalisateur, habitué au sport collectif le plus rapide au monde. « J’essaye systématiquement d’avoir des cadreurs qui connaissent le sport. C’est une discipline qui demande une attention particulière : tout va très vite sur le banc comme sur la glace, il faut être très réactif. Avec L’Équipe 21, nous avons constamment un homme en bord de terrain qui fait vivre le match au plus près. Il y a plus de caméras et surtout nous avons un chef d’édition. Il est chargé d’établir la transmission avec les studios à Boulogne-Billancourt, et permet de respecter au mieux les retours avec Paris. » Ce chef d’édition, c’est Vincent Pérez. Installé à son poste dans le car régie, il travaille en étroite collaboration avec la chaîne. Les yeux rivés sur son téléphone, Vincent Pérez finalise les derniers détails avec les studios de L’Équipe 21.

Pendant ce temps, les équipes artistiques se réunissent. Autour de Cyril Martinetto, les truquistes (effets spéciaux), techniciens d’exploitation (ralentis) et les journalistes se rassemblent pour déterminer des choix que feront l’équipe. Car si diffuser une compétition sportive peut paraître à première vue une simple affaire technique, en réalité une succession de choix incombe à la réalisation. Il est décidé de mettre en lumière le meilleur buteur de la Ligue Jason Krog et le gardien Evan Mosher qui s’apprête à disputer son premier match en Ligue Magnus.

L’heure défile, et déjà les cadreurs s’affairent dans les couloirs: il est temps d’enregistrer les présentations des équipes et les interviews. Les travées de l’Ile-Lacroix s’apparentent alors à une fourmilière où patins et crosses cohabitent avec les caméras dans un pétulant mélange d’adrénaline et de concentration. De retour dans le car régie, tout le monde est à son poste. Les pôles audio et vidéo sont prêts, la régie est en ordre de bataille. Une à une les lumières de l’horloge numérique s’illuminent. Le car retient son souffle. Le direct a commencé.

À peine la diffusion a-t-elle débuté que les techniciens s’affèrent à réinstaller la caméra derrière les filets rouennais. Pour résoudre le problème, la mascotte des Dragons, Body-Buddy, est mise à contribution. Sa crosse en mousse servira à replacer la caméra culminant à près de trois mètres de haut. Pendant ce temps, Romaric Ponce est déjà à pied d’œuvre. Patins cassés, blessures, l’homme de terrain de la chaîne ne chôme pas. Il garde un œil sur le banc rouennais et l’autre sur le banc gapençais.

Dans le car régie,  Cyril Martinetto et ses équipes pianotent sur leur vaste poste de commande. Dans l’ombre de l’orchestre, Jean Jacques Vervialles garde un œil sur le panneau d’affichage. L’homme n’en est pas à ses débuts dans la TV. Avec trente ans de métier, celui qui fait le relai avec la table de marque affiche une sérénité déconcertante. « Le tout est de rester sur le qui-vive pour prévenir une panne, reconnaît celui qui a développé les statistiques pour le football sur Canal + par le passé. En cas de séance de tirs au but, je gère manuellement le tableau de score. » Les yeux de Jean-Jacques pétillent à la simple évocation de ses collaborations avec Michel Platini et les plus grands sportifs. La télévision, ce sont également de belles rencontres. Les Rapaces de Gap s’imposent 4-3 et il est déjà l’heure de rendre l’antenne. Après plus de dix heures de travail intensif, clap de fin pour le hockey sur l’Équipe 21.

(c) Photos : C.Vaillant


EDF A’. Pierre Pousse : « Travailler pour l’avenir »

Du 26 juillet au 10 août 2015, l’équipe de France A’ s’est réunie pour un rendez-vous devenu traditionnel de pré-saison. Après des tests physiques, les 25 joueurs français, menés par Dave Henderson et Pierre Pousse, ont continué leur stage en République tchèque par sept matches amicaux (à Ostrava et Havirov). Retour avec l’entraineur-adjoint des Bleus sur les objectifs poursuivis par ce collectif…

Peux-tu nous expliquer les origines de ce projet d’équipe de France A’ ?

PP : Historiquement, avec Dave on a toujours travaillé l’été avec les jeunes joueurs qui sortent des rangs U20 jusqu’à 23-24 ans. À la base on ne faisait qu’un stage en juin à Font-Romeu, glace et hors glace, et maintenant, depuis 7-8 ans on effectue une tournée en République tchèque. Les années passant on a évolué car on souhaitait avoir de plus en plus de matches. Cette saison on est arrivé à disputer sept rencontres en onze jours, soit le maximum depuis le début de cette tournée (ndlr : avec en fin de stage cinq matches en six jours, dont un tournoi à quatre équipes). Le but de cela est de pouvoir évaluer les joueurs en condition « Championnat du Monde », savoir ce qu’ils sont capables d’apporter avec une répétition de matches dans une période très courte. Lorsque l’on suit un format international classique, où l’on s’entraine la semaine et on dispute trois rencontres à la fin, c’est moins parlant. Avec cette tournée d’été, on rencontre des clubs d’un très bon niveau – Élite slovaque, D1 tchèque, Élite polonaise – qui nous offrent une bonne adversité face à nos jeunes joueurs.

Si on en revient aux origines, le stage à Font-Romeu trouvait son utilité pour préparer physiquement les joueurs. Maintenant on se rend compte que les clubs français ont vraiment un programme de développement physique, ce qui fait que notre stage tombait un peu comme « un cheveu sur la soupe ». Depuis l’année dernière, on a mis en place un suivi des prospects, c’est-à-dire des joueurs âgés entre 20 et 24 ans. On réalise ainsi avec eux une série de tests : la première à la fin de saison de Ligue Magnus début avril, la seconde après le Championnat du Monde Elite fin mai, et la troisième juste avant la tournée en République tchèque. C’est très important pour nous d’avoir ce suivi physique, mais aussi technique, afin d’étudier ce que ces joueurs-là peuvent nous apporter dans un laps de temps très réduit comme en Mondial…

Le collectif A’ est essentiellement composé de jeunes joueurs évoluant en Ligue Magnus (22 sur 25 cette saison), ou qui viennent juste de partir à l’étranger. C’est important de garder un contact proche avec ce groupe élargi ?

On les connait car on échange beaucoup avec l’entraîneur U20, mais à leur sortie des sélections jeunes, c’est important qu’on les suive durant 3-4 ans, afin qu’ils disputent des matches internationaux. Si on regarde depuis la dizaine d’années que nous sommes en place avec Dave, presque tous les joueurs qui sont en équipe de France sont passés par ce programme. Même Antoine Roussel, Stéphane Da Costa ou encore Pierre-Edouard Bellemare sont venus à Font-Romeu par exemple.

Ce rassemblement permet aux joueurs de rester en contact entre eux. Après s’être suivi dans les sélections U16, U18 et U20 c’est bien qu’ils continuent à se côtoyer. Entre la catégorie U20 et Senior, la marche est très importante. Surtout avec le niveau de l’équipe de France qui a augmenté depuis qu’on évolue en Elite. Il y a une concurrence de plus en plus vive. Avec Dave, on est sur le terrain puisqu’on se déplace pour voir les matches de Magnus, Coupe de France et Coupe de la Ligue, mais cette tournée est un excellent révélateur sur les capacités réelles des joueurs qui aspirent à venir porter le maillot tricolore… Et on se rend compte chaque année qu’il y a un ou deux joueurs du collectif A’ qui se retrouvent en équipe de France en fin de saison (ndlr : au Mondial 2015 de Prague, ils étaient 3 : Florian Chakiachvili, Valentin Claireaux et Anthony Rech).

La tournée offre donc une passerelle entre la catégorie U20 et Senior. Réunir les joueurs durant cette période vous permet-il aussi d’étudier comment se déroule la vie de groupe ?

Tout à fait : c’est un lien entre les U20 et les Bleus. Les joueurs qui passent avec succès ce révélateur sont ceux qui atteindront le groupe A… On regarde aussi ce qui se passe dans la vie de groupe à cette occasion. Le but chaque année c’est le Championnat du Monde et il est important d’y avoir des joueurs capables de rester concentrés et performants sur une aussi longue période. Cette tournée en République tchèque, c’est comme un « mini-Mondial », en tout cas dans la durée et la répétition des matches. Les résultats qu’on a actuellement avec les Bleus sont dus en grande partie à notre état d’esprit et « au cœur » qu’on peut mettre à la fois sur la glace mais aussi en dehors. Un joueur qui n’arrive pas à se fondre dans le groupe, même s’il est performant, c’est compliqué de pouvoir l’intégrer.

Le stage permet aussi d’établir un lien entre toutes les générations. Cette année, les joueurs nés en 1995, qui viennent de disputer un Mondial U20, se retrouvent aux côtés de Florian Chakiachvili, notre capitaine lors de la tournée, qui a joué le dernier Mondial Elite à Prague. C’est aussi important pour des joueurs comme Florian ou Anthony (ndlr : Rech) car ils doivent prendre en main le groupe. Après avoir été les « jeunes » en équipe de France, ils se retrouvent leaders en A’. Et ça, c’est travailler pour l’avenir. Les groupes qui se forment durant cette tournée d’été seront sûrement ceux qui seront aux commandes dans quelques années.

(c) Photos C.Steenkeste


FFHG. Bientôt 50% de clubs labellisés

10 ans : la Fédération célébrera l’an prochain ce symbolique anniversaire !  Nés en 2006 ou en 2005, ils ont aussi presque 10 ans aujourd’hui et jouent au hockey avec leur club, s’entrainent chaque mardi, chaque mercredi ou jeudi et jouent le week-end. Ils sont en école de hockey ou en U9 et sont entrainés par des entraîneurs diplômés ou encadrés par des éducateurs en formation… Cette génération est la première à pouvoir se développer grâce au programme de labellisation des clubs.

Dans le cadre du développement du territoire, la fédération via la DTN (Direction Technique Nationale) et les commissions dédiées, a initié la mise en place d’un processus de certification des clubs. En partant par la base, c’est-à-dire l’école de hockey (qui accompagne les premiers pas sur la glace), un premier niveau « Label Ecole de Hockey vient valider le cahier des charges fédéral » souligne Marieke Nilly dont le club de Wasquehal a été labellisé en 2014 et qui accompagne les clubs pour la Zone Nord-Est.

Pour un parent, inscrire son enfant dans un club labellisé c’est la garantie d’un accueil et d’un encadrement qualifiés via le suivi des règles établies par la FFHG (encadrement, créneaux de glace, participation aux plateaux). Un gage de qualité pour le développement et l’épanouissement du jeune joueur.  Pour un club c’est une reconnaissance et un levier pour convaincre les institutions (Mairie, Conseil Général etc…) et obtenir un soutien matériel et/ou financier (subventions) et attirer plus de jeunes licenciés.

L’enjeu est clairement et véritablement d’offrir les conditions d’un développement local, régional et national raisonné : déjà 25 clubs français l’ont compris et presque autant sont en cours de validation. « En moins de 3 saisons c’est très encourageant » pour Rima Cambray membre de la Commission d’Organisation des Compétitions et Développement (COCD) présidée par Jean-Jacques Hardy. Les satisfactions sont nombreuses dans les Ligues qui peuvent compter sur une collaboration accrue et un dialogue facilité par une adhésion à un fonctionnement plus uniforme.

À ce jour, il existe 2 labels FFHG. Un premier niveau pour l’école de hockey (EDH, 4-6 ans) et un autre pour les U9 (7-8 ans). Obtenir son label ou le conserver – un Label est valable 2 ans – c’est un défi qui stimule tous les acteurs du club. Gagner du crédit en franchissant cette étape c’est se doter d’une base solide pour affronter les suivantes.

  • Vous êtes membres du bureau et/ou investi dans un collectif EDH ou U9, prenez votre destin en main et enclenchez la démarche via le formulaire suivant : cliquez ici.
  • Vous êtes éducateur bénévole, parent d’un jeune licencié, initiez la démarche via les dirigeants de votre club : cliquez ici.

On peut être adversaire, souhaiter s’améliorer sportivement et structurellement et se rejoindre autour d’un projet commun. Le Label et les plateaux Fair Playzir sont des espaces d’échanges et de convivialité. Aussi récompense et charnière qui permettent aux jeunes équipes de jouer et de créer des contacts pour partager les bonnes pratiques. Quand un club labellisé rencontre un autre club labellisé…
Donner encore plus de chance aux enfants, garçons ou filles qui poussent la porte d’une association labellisée, d’entrer dans un parcours d’initiation validé par la FFHG. Être au coeur d’un projet qui donne des perspectives pour les plus jeunes du club (heures de glace, entrainements structurés, plateaux, tournois… avec un encadrement adapté) c’est s’offrir des conditions de vivre sa passion encore plus passionnément !

Suivez les clubs labellisés qui affichent leurs couleurs !

Pour aller plus loin, contacter la Fédération via le lien suivant : https://www.hockeyfrance.com/ffhg/decouvrir/obtenir-un-label/presentation-des-labels ou via l’adresse mail suivante : [email protected]/ [email protected].


FFHG. Le regard des coaches sur les modifications règlementaires

Lors de la dernière Assemblée générale de la FFHG, organisée au  mois de juin dernier à Cergy-Pontoise, plusieurs modifications réglementaires importantes ont été entérinées. Outre le nouveau comptage des points, le passage en société sportive obligatoire pour tous les clubs de Ligue Magnus ou encore sa réduction à 12 équipes dès la saison prochaine, trois autres nouvelles règles sont déjà entrées en application. Ces trois dernières modifications contraignent-elles les entraîneurs à changer leur tactique lors des matches et ont elles eu des conséquences directes sur le jeu ? Nous avons posé la question à trois coaches qui officient cette saison dans la Ligue Magnus.

Concernant d’abord le quota obligatoire de onze joueurs formés localement (JFL), Stéphane Gros, le coach de Chamonix, soutient cette décision : « En tant qu’entraîneur français, je suis catégorique pour dire que c’est une excellente chose ! En effet, dans notre championnat national, on se doit de former en priorité des joueurs français. C’est d’ailleurs notre cas à Chamonix puisque je n’ai que sept renforts étrangers dans l’équipe senior et sept jeunes sont issus de la formation du Mont-Blanc. »

Son homologue François Dusseau, qui dirige l’équipe de Lyon, ne cache pas également sa satisfaction en indiquant cependant : « C’est une bonne chose mais il va falloir travailler davantage la formation si nous voulons avoir de la relève. Sur les 20 000 licenciés que compte la FFHG, il y a grosso modo 5 000 qui jouent en loisirs.  Et pour l’instant, dans l’équipe de Lyon, il n’y a pas un seul hockeyeur formé au club qui soit originaire de la ville de Lyon ! »

Quant à Jonathan Paredes, l’entraîneur de Dijon, il souligne un autre aspect positif de ce nouveau quota rendu obligatoire : « C’est très bon car à partir de la saison prochaine il y aura deux équipes en moins en Ligue Magnus et on disputera 44 matches. Donc, il y aura forcément plus de JFL sur le marché et ils auront davantage de temps de glace. »

La deuxième règlementation qui oblige les coaches à changer de stratégie concerne la configuration de la patinoire elle-même puisque les deux lignes bleues ont été reculées de 1,53 mètre et se trouvent désormais à 22,86 mètres de la bande située derrière les buts (contre 21,33 mètres auparavant). Du coup, la zone offensive (ou défensive) est donc plus grande de chaque côté de la patinoire, tandis que la zone neutre s’en trouve réduite d’un peu plus de 3 mètres.

Concernant l’opportunité du déplacement des lignes bleues, Stéphane Gros acquiesce également : « Cela modifie beaucoup le jeu de manière positive en l’accélérant. Nous n’avons que deux mois de compétition, il faut donc qu’on s’adapte surtout au niveau défensif et gérer les priorités dans notre zone. Avant le schéma était classique avec nos ailiers sur les défenseurs adverses, notre centre et nos arrières travaillant autour de la cage. Maintenant, il faut d’abord protéger la zone de la cage avant de monter sur les défenseurs à la ligne bleue. Cela change surtout l’activité des ailiers en zone défensive. Par contre, je trouve que c’est un non-sens dans les petites patinoires comme Morzine, Dijon ou Angers vu que la longueur entre les lignes bleues et la ligne de but sont identiques. Du coup, on a quasiment plus de zone neutre ! Pour ces matches, on est obligé de changer la tactique.» 

François Dusseau souligne de son côté l’impact direct sur le comportement des joueurs : « Avant, des attaquants trichaient un peu en patinant plus vite. Or, ce changement des lignes bleues implique que tout le monde soit beaucoup plus vigilant dans la zone défensive. Maintenant, si les cinq joueurs ne sont pas bien positionnés, l’équipe sera toujours en infériorité. Il faut donc avoir une plus grande rigueur en zone défensive. »

Jonathan Paredes ajoute de son côté l’interaction des nouveaux changements : « Chaque règle a pour but d’augmenter le nombre de buts marqués. Désormais, l’avantage c’est que le jeu est clairement dirigé vers l’offensive. Le nouveau comptage des points en atteste également puisqu’il incite à pousser l’adversaire dans ses derniers retranchements avec une récompense à la clé en cas de prolongation ou de tirs au but. Même une défaite peut être payante en cas de forte résistance. Plus encore que par le passé, avec le nouveau positionnement des zones, il faut surtout travailler autant le jeu défensif qu’offensif. »

Reste la troisième réglementation qui concerne le dégagement interdit dit «hybride». Rappelons que la position du défenseur est désormais déterminante. S’il parvient à la hauteur d’une ligne imaginaire située à la hauteur des deux points d’engagement avant son adversaire, le juge de ligne signale un dégagement interdit. Si, par contre, le joueur offensif est en avance à la hauteur des points d’engagement, le jeu se poursuit.

« C’est la règle la plus dure à assimiler pour les joueurs et les arbitres, confie François Dusseau. Pour ce que j’ai pu voir pour l’instant en championnat de France, un coup c’est oui et un coup c’est non. Mais cette règle est intéressante car elle oblige à ouvrir  le jeu, même si encore peu d’équipes jouent là-dessus. »

Stéphane Gros ne cache pas là encore sa satisfaction après l’adoption du dégagement hybride. « Nous avons la chance à Chamonix d’avoir une équipe très rapide. Donc, on l’utilise beaucoup. Le seul problème, c’est qu’il faut que les arbitres soient vigilants et très réactifs pour éviter les mauvaises charges. »

Jonathan Paredes adhère également à la pertinence de ce nouveau dégagement interdit tout en soulignant toutefois sa complexité : « On l’avait déjà expérimenté la saison dernière. Le problème, c’est qu’il faut se familiariser et c’est parfois difficile, notamment pour le grand public. Pour les arbitres, ce n’est pas simple non plus car la décision, dans ce cas de figure, doit être très rapide. Mais pour l’instant, je n’ai pas vu de grosses erreurs. »

(c) Photos S.Vella, L.Cornu et Chamonix Hockey Club


Hommage à Claude Pourtanel

Le vendredi 16 octobre 2015 restera une date mémorable pour le club de hockey sur glace de Viry-Châtillon. En effet, Jean-Marie Vilain, le maire de la ville de l’Essonne, a tenu à honorer officiellement la mémoire de l’ancien président Claude Pourtanel, décédé en 1999, en inaugurant une plaque portant son nom et posée à l’entrée de l’établissement. Cette cérémonie très émouvante s’est déroulée en présence de l’ancien président du Comité national Patrice Pourtanel et de toute sa famille, mais également sous le regard de très nombreux hockeyeurs, pour la plupart des anciens internationaux de renom, qui ont tenu à manifester par leur présence la grande affection qu’ils gardent pour ce dirigeant charismatique élu au Temple de la renommée de la FFHG en 2010.

  

(c) Photos Tristan Alric / Dominique Roux

La Ligue Magnus en route pour 2017

À moins de deux ans du Championnat du Monde Elite IIHF à Paris, la Fédération Française de Hockey sur Glace a lancé son « We Can Be Heroes Tour » le samedi 10 octobre à Rouen, à l’occasion du match de saison régulière Rouen-Gap. La tournée, qui a pour but de promouvoir le Mondial 2017, fera étape dans les 14 patinoires des 14 clubs de Ligue Magnus. Entre les animations du Village Hockey dans les magasins Décathlon partenaires et les matches de Ligue Magnus aux couleurs de 2017, la tournée s’annonce festive ! La deuxième étape s’est déroulée à Amiens le vendredi 23 octobre, en marge de la rencontre Amiens-Lyon. Le prochain rendez-vous est fixé à Strasbourg le samedi 14 novembre, alors que l’Étoile Noire recevra les Boxers de Bordeaux. Au cours de la saison, Brest, Angers, Lyon, Bordeaux, Morzine, Chamonix, Grenoble, Gap, Dijon et Épinal accueilleront successivement ce Hockey Tour, avant que la tournée ne s’achève à Briançon le mardi 2 février 2016.

Paris 2024. Le hockey français soutient la campagne #JeRêveDesJeux

Le lancement officiel de l’opération « Je rêve des Jeux » s’est effectué le vendredi 25 septembre à 20h24 au CNOSF (Comité National Olympique et Sportif Français). 350 athlètes, parmi lesquels Tony Parker, Teddy Riner ou encore Thierry Omeyer, se sont ainsi mobilisés pour soutenir la candidature de Paris aux Jeux olympiques 2024. Vincent Bachet et Lydie Breton, deux de nos anciens internationaux, étaient présents à cette soirée pour représenter le hockey sur glace. Les personnalités politiques étaient également présentes avec notamment le Premier Ministre Manuel Valls, la maire de Paris Anne Hidalgo et le Ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports Patrick Kanner. Cet événement fédérateur est le point de départ d’une campagne pour susciter « l’engouement des Français et initier un financement participatif ». Tous les détails de l’opération sont disponibles sur le site http://www.jerevedesjeux.com.

À l’image des membres de la DTN, l’ensemble du hockey français est fier de se joindre au mouvement sportif national et d’afficher son soutien à cette candidature.

FFHG. Le cap des 20 000 licenciés franchi

Neuf ans après sa création, la Fédération Française de Hockey sur Glace a enregistré pour la saison 2014-2015 plus de 20 000 licenciés. Ce premier cap est une étape importante pour le hockey français, à l’aube de 2017, année phare du hockey hexagonale. A l’occasion de l’Assemblée Fédérale de juin dernier, Luc Tardif, Président de la Fédération Française, s’était réjoui de cette nouvelle en annonçant le chiffre de 20 474 licenciés. Pour célébrer cette étape symbolique dans le hockey français, deux licenciés, une fille et un garçon – les deux premiers de moins de 9 ans à passer le cap des 20 000 licenciés – vivront une saison de hockey particulièrement spéciale…

Conti Cup. Rouen s’apprête à accueillir une demi-finale

Du 20 au 22 novembre 2015, l’Île Lacroix va accueillir une demi-finale de Continental Cup. Qualifié directement pour ce 3ème Tour de la compétition en tant que vainqueur de la Coupe de France 2015, Rouen s’est vu confier l’organisation par l’IIHF le 21 juin dernier. Les joueurs de Fabrice Lhenry seront opposés aux Ukrainiens du HK Kremenchuk, aux Biélorusses du HC Shakthyor Soligorsk et aux Polonnais de Tychy, derniers qualifiés à l’issue du 2nd Tour disputé à domicile. Chaque équipe s’affrontera une fois, les deux premiers se qualifiant pour la Super Finale qui aura lieu du 8 au 10 janvier 2016. Les Dragons, déjà deux fois hôtes de la finale (2009 et 2014) et une fois vainqueurs (2012), espèrent bien de nouveau briller aux yeux de l’Europe et de leur public.

Hommage à Hugo

Il y a un an, le petit Hugo Vermeersch, touché par un palet lors d‘une rencontre de Division 1 à Dunkerque, décédait malgré le dispositif de sécurité existant et l’intervention rapide des secours. Tout le hockey français s’était alors mobilisé à la mémoire du jeune garçon, multipliant les actions de soutien. La FFHG souhaite saluer de nouveau la mémoire du jeune garçon en lui rendant hommage à l’occasion de la finale de la Coupe de France 2016, le 3 janvier prochain. Les clubs ont aussi été invités à saluer sa mémoire, par une minute de silence ou d’applaudissements, ou sous la forme qu’ils le souhaitent, dans toutes les patinoires de France à partir du week-end du 7-8 novembre.

La FFHG rappelle également les mesures simples de prudence qu’il est indispensable de mettre en œuvre lors de la pratique de notre sport, et qui peuvent limiter les risques d’accident en cas de sortie du palet de l’aire de jeu. Vous retrouverez le courrier officiel envoyé aux clubs en cliquant ici.

CHL. Succès historiques pour Gap et Grenoble

Un an après le retour de la Champions Hockey League, la France a brillé sur la scène européenne grâce à ses deux représentants, Gap et Grenoble, tous deux auréolés de leurs premières victoires dans la compétition. Ce sont les Brûleurs de Loups qui ont montré la voie en s’imposant 2-1 à Pôle Sud face aux Finlandais d’Espoo Blues le vendredi 4 septembre. Deux jours plus tard, les Rapaces de Gap les ont imités en disposant des Eisbaren de Berlin 3-1 à l’Alp’Arena. Deux succès historiques en CHL pour des clubs français mais qui se sont révélés insuffisants pour se qualifier au tour suivant. Loin d’être ridicules, Gapençais et Grenoblois sont sortis de la compétition la tête haute, affichant un bilan prometteur.


Agenda

MONDIAL 2017 – WE CAN BE HEROES TOUR

Du 14 novembre au 2 février :

  • Etape n°3 : Le 14 novembre à Strasbourg (17h30 : Strasbourg-Bordeaux, Iceberg)
  • Etape n°4 : Le 21 novembre à Brest (18h40 : Brest-Dijon, Rïnkla Stadium)
  • Etape n°5 : Le 27 novembre à Angers (20h30 : Angers-Epinal, Haras)
  • Etape n°6 : Le 29 novembre à Lyon (17h00 : Lyon-Grenoble, Charlemagne)
  • Etape n°7 : Le 12 décembre à Bordeaux (18h15 : Bordeaux-Gap, Meriadeck)
  • Etape n°8 : Le 23 décembre à Morzine (20h30 : HCMAG-Lyon, Skoda Arena)
  • Etape n°9 : Le 30 décembre à Chamonix (20h30 : Chamonix-Bordeaux, Richard Bozon)
  • Etape n°10 : Le 9 janvier à Grenoble (20h00 : Grenoble-Briançon, Pôle Sud)
  • Etape n°11 : Le 12 janvier à Gap (20h30 : Gap-Chamonix, Alp’Arena)
  • Etape n°12 : Le 23 janvier à Dijon (20h00 : Dijon-Briançon, Trimolet)
  • Etape n°13 : Le 31 janvier à Epinal (18h30 : Epinal-Bordeaux, Poissompré)
  • Etape n°14 : Le 2 février à Briançon (20h30 : Briançon-Amiens, René Froger)

CONTINENTAL CUP

Du 20 au 22 novembre Demi-finale à Rouen (Île Lacroix)

Composition du Groupe E : Shaktyor Soligorsk (BLR), Dragons de Rouen, HK Kremenchuk (UKR), GKS Tychy (POL)


EQUIPES DE FRANCE – MONDIAUX

Du 12 au 18 décembre : Equipe de France U20, Mondial Division 1 Groupe B à Megève

Au programme :

  • Samedi 12 décembre 2015 : France – Ukraine (19h00)
  • Dimanche 13 décémbre 2015 : Slovénie – France (19h00)
  • Mardi 15 décembre 2015 : Grande Bretagne – France (19h00)
  • Mercredi 16 décembre 2015 : France – Japon (19h00)
  • Vendredi 18 décembre : Pologne – France (19h00)

Du 8 au 15 janvier : Equipe de France U18 Fem, Mondial Élite à St Catharines (Canada)

Au programme des matches du premier tour (heures locales) :

  • Vendredi 8 janvier 2016 : Finlande – France (12h00)
  • Samedi 9 janvier 2016 : Suède – France – Slovaquie (14h00)
  • Lundi 11 janvier 2016 : Suisse – France – Slovaquie (14h00) 

COUPE DE FRANCE

3 janvier: Finale à l’AccorHôtels Arena (anciennement Bercy)


14

Comme le nombre d’étapes du We Can Be Heroes Tour, la tournée de promotion du Mondial 2017 qui s’arrêtera dans les 14 patinoires des 14 clubs de la Ligue Magnus. L’une des occasions pour l’ensemble de la famille du hockey sur glace de français de se mettre en route pour 2017 !

7

Comme le nombre de clubs invaincus dans les championnats Seniors nationaux. Ils évoluent tous en D3 : Nantes 2 et Brest 2 du groupe A, Valenciennes de la poule B, Chalons du groupe C, et Annecy, Montpellier et Toulon de la poule D. Les Aigles de Nice, en Division 1, et les Jokers de Cergy-Pontoise, en Division 2, ont perdu leur invincibilité le samedi 31 octobre, respectivement après sept et six victoires de rang.

3 298

C’est le nombre d’abonnés au compte Twitter officiel des équipes de France de hockey sur glace, @Hockey_FRA. C’est fin septembre que la barre des 3 000 « followers » a été franchie sur ce réseau social. Une évolution qui prouve encore une fois l’intérêt croissant des personnes pour notre sport. La page Facebook « Équipe de France de Hockey sur Glace » se porte elle aussi très bien avec 13 082 « mentions J’aime »*.

* données arrêtées au 01/11/15

17

Avec 17 points inscrits en 16 rencontres disputées, Damien Fleury a effectué des débuts très remarqués dans le championnat allemand. Il se classe ainsi 5ème ex-aequo au classement des meilleurs marqueurs de la DEL. Mieux : il est 2ème meilleur buteur à égalité avec 9 buts à son actif ! Les Wild Wings ne doivent certainement pas regretter leur choix d’avoir recruté notre attaquant international !

75 425

C’est le nombre total de visionnages atteint par la vidéo « We Can Be Heroes » sur Facebook, un chiffre record ! Avec 5 642 « mentions j’aime, commentaires et partages » et 196 412 personnes atteintes*, le lancement de la campagne promotionnel autour de l’équipe de France a fait le tour du web ! Un engouement populaire de bon augure pour l’organisation du Championnat du Monde à Paris en 2017… Vous aussi, rejoignez l’aventure des Bleus !

* données arrêtées au 01/11/15