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La Ligne Bleue N°34

08 Déc 2017 12:55   /   NEWSLETTER

Crédit : Ligue AURA

 

Retrouvez l’ensemble des actualités de la Newsletter fédérale, datant du mois de décembre 2017.


Édito de Luc Tardif. Un cycle chasse l’autre

L’heure n’est pas encore au bilan annuel mais le riche et attendu millésime 2017 a déjà beaucoup offert.

Aperçu des faits marquants de la saison internationale :

  • Février, TQO Féminin au Japon, nos représentantes sont écartées avec les honneurs.
  • Mi-avril, nos U18 sont Champions du Monde et accèdent au niveau Élite. Une immense première pour le hockey français.
  • Fin mai, nos Bleus clôturent, au pied des quarts de finale, le premier Mondial Elite organisé en France depuis 66 ans.
  • Le 24 juin, Alexandre Texier est le premier hockeyeur formé en France à être repêché en NHL.
  • Enfin, dans quelques jours, à Courchevel-Méribel va s’ouvrir le Mondial U20 D1A, antichambre de l’Elite mondiale. Un autre Championnat du Monde à domicile à écrire.

Si les performances de nos jeunes filles et garçons, ajoutées à la 9e place de nos seniors (synonyme de 13e rang mondial), viennent récompenser tous les efforts des formateurs hexagonaux ; revenons plus en détail sur l’événement Paris 2017.

En prenant le pari d’organiser dans notre capitale le Championnat du Monde Senior Elite de l’IIHF, la Fédération s’était donné 4 mandats :

  • Assurer une fête et une participation populaire : outre les 224 000 spectateurs, la 2e plus forte assistance de l’histoire (hors organisation Russie Canada), les supporters français ont répondu présents et ont fait vibrer l’AccorHotels Arena. À Chaque hymne national entonné un record de frissons était battu et qui oubliera les salles combles, la victoire face à la Finlande ou le France-Canada électrisant ?
  • Garantir une qualité d’organisation aux normes internationales : réputées exigeantes, les délégations accueillies sont reparties en distribuant les félicitations aux organisateurs. Les équipes fédérales, les bénévoles, des vestiaires aux hôtels en passant par l’expérience spectateur la « french touch » a répondu présent du premier au dernier jour.
  • Offrir des performances sportives : 4 victoires et des défaites sur le fil ont permis de jouer les premiers rôles sans complexe. À l’image de leurs leaders Cristobal Huet et Laurent Meunier – salués pour leurs Adieux – l’équipe a fait honneur aux couleurs tricolores en rivalisant avec les grosses nations tout en proposant un jeu spectaculaire.
  • Maîtriser les finances : dans un contexte tendu (attentats la semaine précédente, élections présidentielles, visite du CIO) et des obligations contraignantes (annulation de la Fan Zone, exigences de sécurité préfectorale) l’équilibre financier n’est pas atteint. Avec l’aide des pouvoirs publics l’atterrissage négatif avoisinera 500 000 €.

Si l’aspect comptable terni la belle organisation menée par notre Fédération, nos acquis et nos ressources sont assez solides pour aborder les prochaines échéances avec conviction. Tandis que le Centre Fédéral soufflait sa première bougie, 4 nouveaux projets de patinoires obtenaient une significative reconnaissance et plusieurs millions d’aides de la part du CNDS.

Depuis la première journée, les championnats sont disputés avec ferveur. En D2 comme en D1 le niveau de jeu et d’intensité grimpe. Les accords passés entre clubs voisins en « licence bleue » permettent aux meilleurs U20 (et par ricochet aux U17) de doubler les matches et de booster les collectifs ainsi renforcés. La SLM version 44 matches est suivie tel un feuilleton à rebondissements multiples et la Coupe de France apporte sa part de suspense confirmant qu’en hockey l’indécision est un ingrédient épicé.

Après les gros projets menés ces dernières années, on repart de l’avant ! Il convient de solidifier l’outil et de mettre l’objectif olympique en tête des priorités. Les équipes sont déjà au travail pour poser les bases d’une nouvelle mandature. Avec le Comité Directeur, avec les Ligues, avec les Zones, c’est une Fédération plus structurée qui veut accentuer l’effort vers ses clubs et ses licenciés.

Luc Tardif

Président de la FFHG

(c) Photos : X. Lainé / FFHG


FFHG. L’aura de la Ligue Auvergne – Rhône-Alpes

Pascale Durandard, Présidente de la Ligue AURA

Deuxième ligue de hockey sur glace en France avec un total de dix-sept clubs, la région Auvergne-Rhône-Alpes ne cesse d’innover et de montrer l’exemple depuis sa fusion officielle en 2015. Le dynamisme de ses dirigeants, dans le domaine sportif mais aussi financier, exerce un rayonnement très positif, qui va au-delà même des limites territoriales de cette ligue. Cette dernière a confirmé au fil des mois qu’elle bénéficie d’une « aura » dans notre discipline pour reprendre les quatre lettres qui forment son acronyme officiel.

Lorsque Michel Berrier, le président de l’ancienne ligue d’Auvergne, et Franck Cordelois, son homologue de Rhône-Alpes, ont acté la fusion et passé le témoin à Pascale Durandard, elle s’est attelée à sa tâche territoriale pour fédérer cette nouvelle Région avec l’enthousiasme que tout le monde lui connait.

Membre du Comité directeur de la FFHG, Pascale Durandard, ancienne présidente du club de Val Vanoise, était la personne idoine pour prendre la barre d’un grand vaisseau comme l’AURA. D’autant que cette élue expérimentée avait été également trésorière de l’ancienne ligue des Alpes et elle est aussi déléguée au développement de la Zone Sud-Est. Bref, elle avait assez de cran et d’assurance pour pouvoir tenir un gouvernail qui s’annonçait un peu retors. Dès sa prise de fonction, avec l’appui de cadres compétents, sa première action fut de lancer ce qu’il est convenu d’appeler une grande évolution des mentalités pour ne pas dire une véritable révolution de palet. « J’ai eu la chance d’avoir immédiatement à mes côtés Lionel Charrier qui est cadre technique national et qui fut entraîneur de l’équipe de France U20, explique-t-elle. En accord avec le DTN et dans le but d’améliorer le niveau des jeunes hockeyeurs français, Lionel Charrier s’est concentré sur la nouvelle ligue. Dès lors nous avons établi ensemble une nouvelle stratégie pour tenter de faire progresser nos hockeyeurs. Dans ce but, j’ai fait en sorte de mettre en osmose à la fois le pouvoir politique, la volonté et les moyens financiers. »

Pour s’assurer de l’efficacité de sa nouvelle politique, la présidente de l’AURA et ses dirigeants ont créé un emploi d’Assistant Technique Fédéral (ATF) qui a été confié dans un premier temps à Eric Sarliève de Clermont-Ferrand. Pour financer son poste (qui reviendra ensuite à Jean-Michel Bortino assisté de Guillaume Berger), la Ligue a organisé régulièrement plusieurs stages payants pour les jeunes. De plus, la Ligue AURA a sollicité des subventions importantes auprès des diverses instances régionales et elle a demandé de surcroît une participation financière aux 17 clubs qui se trouvent dans la ligue pour assurer son bon fonctionnement. Comme on le voit la révolution était en marche à grands coups de patins…

Les cadres techniques de la Zone Sud Est (Lionel Charrier, Marc Peythieu, Eric Sarliève et Vincent Peltier), en accord avec le DTN Gérald Guennelon, ont proposé une nouvelle « philosophie du développement du joueur et de la joueuse ». De la réflexion de ces cadres très investis est sorti un projet que la présidente qualifie de « véritable bible du développement ».

Photo de groupe lors d'un plateau Fair PlayZir à Lyon en novembre 2017« Cette méthode s’adresse à tout le monde : élus, entraîneurs, parents et joueurs, explique Pascale Durandard. On a fait voter cette philosophie par tous les présidents de la Ligue, mais on l’a fait valider aussi par tous les entraîneurs car il s’agit d’un grand projet collectif. Le but de notre action, c’est une prise de conscience générale, une remise en question collective et, à l’arrivée, pour notre ligue, un réel dynamisme et une grande cohésion. Il est clair que nous voulons l’appui de tous nos clubs car notre but est que les clubs arrêtent de se focaliser sur les résultats des matches. Il faut en finir avec la fuite en avant et la course à l’échalotte chacun dans son coin ! »

Preuve que cette « révolution de palet » menée au sein de l’AURA est positive pour le hockey sur glace français, en 2016 la Direction Technique Nationale a souhaité étendre ce projet à l’ensemble du territoire. Après avoir été validé par le Comité directeur de la FFHG, il a été présenté à l’Assemblée générale des clubs afin que cette philosophie devienne un projet national. Trésorier de la ligue AURA, Patrice Fleutot, président du club de Megève et du Hockey Club 74, ne cache pas son enthousiasme pour cette nouvelle politique : « C’est quelque chose de révolutionnaire comme la Finlande l’a fait il y a dix ans déjà. Désormais, dans notre ligue, à chaque palier il y a quelque chose de bien déterminé dans la formation de nos joueurs. D’abord les jeunes découvrent le hockey et s’amusent. On essaye de ne pas trop les emmener tout de suite vers la compétition. Chaque gamin peut évoluer selon son niveau et choisir sa propre voie. Depuis la création de la ligue, il y a trois ans, les championnats du hockey mineur se jouent par années d’âge U7, U8, U9, etc. Cette nouvelle formule permet de ne pas laisser des gosses de côté. Surtout, ce qui est intéressant, c’est que notre ligue organise désormais une dizaine de stages par année qui sont encadrés par plusieurs entraîneurs compétents et passionnés. C’est très positif puisque mon fils Andréas par exemple a visiblement changé. Il a pris une autre dimension. Sur un plan plus général, on constate qu’un grand pourcentage des jeunes en équipe de France font partie désormais de notre ligue. On a inversé la tendance qui était favorable jusqu’ici aux clubs de l’extérieur. Notre secret vient du fait que nos clubs soutiennent notre projet à fond. »

(c) Photos : Marine Andrieux / Page Facebook Ligue Auvergne Rhône-Alpes de Hockey sur Glace


Divers. Le club de Nîmes renait de ses cendres

Privés de glace depuis l’incendie de leur patinoire au mois d’octobre 2004, les hockeyeurs de Nîmes auront dû patienter pendant treize longues années avant de recevoir enfin un beau cadeau de Noël. En effet, le 22 décembre prochain, une nouvelle patinoire flambant neuve ouvrira ses portes, route de Sommières, au même endroit que l’ancienne. Les dimensions plutôt modestes du nouvel ouvrage (piste 56×26 et gradins de 300 places) n’ont pas entamé l’enthousiasme des amateurs de patinage car, comme dit le proverbe, « qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse !» Les joueurs de la ville du Gard, surnommés les « Krokos », sont ravis de pouvoir disputer bientôt leurs matches à domicile après avoir été contraints de débuter le championnat de la Division 3 (poule D) en jouant uniquement chez leurs adversaires. L’histoire, ô combien particulière, du club de la cité romaine française va donc pouvoir reprendre son cours normal avec cependant une grande particularité…

Mais avant d’aborder le contexte pour le moins atypique dans lequel se trouve aujourd’hui le nouveau club sudiste, il faut rappeler que la présence au centre-ville de Nîmes des célèbres arènes romaines et les traditionnelles férias de Pentecôte et des Vendanges, ont eu semble-t-il un effet de mimétisme sur l’histoire du club gardois de hockey sur glace. En effet, dès l’inauguration de la première patinoire en 1972, les hockeyeurs nîmois ont évolué en permanence dans une ambiance « festive » qui n’était pas sans rappeler parfois celle des corridas…

L'équipe de Nîmes en 1979Le contexte animé dans lequel s’est retrouvé le club de Nîmes dès sa création est dû à la conjonction de deux phénomènes locaux. Tout d’abord, il y a la personnalité très « pittoresque » de Marcel Bagur qui fut le premier gérant de la patinoire. Un personnage inoubliable ! En effet, ce sympathique rapatrié d’Algérie, tout en rondeur et à la faconde méridionale, s’est découvert une passion dévorante pour le hockey sur glace. A tel point qu’il s’est rapidement transformé en un bouillant président « franc-tireur » qui a laissé un grand souvenir à tous ceux qui l’ont côtoyé. On reparle encore de son fameux « transfert du siècle » puisque le président du modeste club de troisième division réussit à faire venir le renfort américain Joe Fidler qui était pourtant dans le championnat élite la grande star du club de Tours à l’époque ! Après le départ de Marcel Bagur, un nouvel acteur assez particulier s’est retrouvé propulsé à son tour aux commandes du Nîmes Hockey Club avec l’homme d’affaire Alain Moula. Ce jeune président, âgé de 30 ans seulement à l’époque, était un personnage très célèbre localement car propriétaire de plusieurs night clubs et d’une grande brasserie du centre-ville. Bref, là encore les anecdotes savoureuses ne manquent pas…

Si la longue traversée du désert de treize ans, provoquée par l’incendie de la première patinoire, a donc amené par la force des choses un retour au calme dans le club de Nîmes, elle n’a pas empêché cependant le club gardois, une fois ressuscité, de cultiver à nouveau sa grande particularité dans le hockey sur glace français. En effet, privés de leur piste de glace, plusieurs hockeyeurs nîmois avaient rejoint depuis quelques années l’association locale du « Kroko Roller » qui regroupait une école de patinage à roulettes et une section de randonnée en ville. Tous les entraînements se déroulaient dans le gymnase Condorcet qui se trouve situé à 200 mètres seulement de l’emplacement de la nouvelle patinoire dans le quartier Pissevin. Entre-temps, au mois de mai 2001, c’est Jerry Canal, cadre administratif au ministère de la défense, qui devint le nouveau président du club Kroko Roller. Ce dernier raconte les circonstances assez particulières qui ont permis la renaissance du hockey sur glace dans la ville de Nîmes : « Parmi les jeunes de notre association, il y en avait qui jouaient au roller mais aussi au hockey sur glace dans la ville voisine de Montpellier. Lorsqu’en 2016 le maire de Nîmes, Jean-Paul Fournier, a annoncé par surprise dans la presse locale la construction d’une nouvelle patinoire, nous avons pensé que c’était l’occasion de créer pour la première fois en France une synergie entre deux disciplines qui sont cousines en les regroupant dans une même association. C’est la raison pour laquelle nous avons transformé les structures de notre club de roller pour l’appeler désormais « Kroko Sports ». Autrement dit, nous avons créé un nouveau club omnisports qui regroupe désormais dix sections au total puisque le hockey sur glace, une école de patinage sur glace et le patinage artistique sont venus s’ajouter aux sept autres déjà existantes parmi lesquelles il y a notamment le roller hockey, le slalom, le derby, les courses de randonnées, l’école de patinage roller et le freestyle. »

Au mois de septembre 2016, soit plus d’un an avant l’ouverture officielle de la nouvelle patinoire, le président Jerry Canal et ses amis, anticipèrent l’intégration prochaine du hockey et cette cohabitation atypique avec le roller en recrutant l’entraîneur de hockey sur glace Raphaël Facchini qui devint donc le directeur sportif du Nîmes Kroko Sports. Ce dernier raconte : « A cette époque, j’avais démissionné de mon poste de directeur technique du club de Lyon pour venir prendre en charge pendant trois ans celui des Vipers de Montpellier. Mais deux jours seulement avant le début de mon contrat, le club pro de l’Hérault a malheureusement déposé son bilan… Du coup, à la fin du mois de juillet, j’étais sans travail après m’être installé à Lunel près de Montpellier. Comme Jerry Canal avait entendu parler que j’étais disponible, il m’a contacté et m’a proposé de me lancer dans l’aventure à Nîmes… »

C’est ainsi que pendant un an, de septembre 2016 à septembre 2017, Raphaël Facchini devint d’abord l’entraîneur de l’équipe nîmoise de roller-hockey comme cela avait été déjà le cas à Montpellier quelques années auparavant. Pendant ce temps, en coulisses, le président Jerry Canal, la vice-présidente Isabelle Was et Raphaël Facchini organisèrent ensemble la transformation administrative et juridique du « Kroko » en club omnisports (Logo, statuts, affiliations, communication, etc…).

Les Krokos de Nîmes jouent en D3 cette saison Dès le mois d’octobre 2016, les dirigeants de Nîmes entrèrent en contact avec la Fédération Française de Hockey sur Glace pour lui faire part de leur projet de fusion pour le moins iconoclaste. Mais la FFHG fit remarquer qu’il existait déjà le « Nîmes Métropole Camargue Hockey Club » formé (encore une particularité nîmoise) uniquement par des arbitres qui s’étaient ainsi regroupés dans la ville du Gard pour être totalement autonomes dans leur association corporative. Toutefois, Geoffrey Barcelo, le président du NMCHC (qui vivait à Lyon), ainsi que ses amis arbitres ne furent pas insensibles à la construction de la nouvelle patinoire et ils acceptèrent rapidement, après avoir obtenu quelques garanties, de rejoindre le Kroko Sports. Le traité de fusion fut rapidement ratifié par courrier permettant ainsi l’affiliation du nouveau club omnisports de Nîmes à la FFHG au mois d’août 2017.

Sans plus attendre, la vice-présidente, Isabelle Was (une infirmière dont le fils Tristan jouait à Montpellier) qui était en charge de la section hockey sur glace au sein du Kroko Sports, décida d’engager une équipe senior dans le championnat de France de la Division 3. Les « Krokos », vêtus de leurs nouveaux maillots vert-noir-rouge (avec un logo représentant un crocodile mordant une crosse) se retrouvèrent ainsi lancés immédiatement dans la compétition en rejoignant, dès le mois de septembre 2017, huit autres clubs qui composent le groupe D. On notera que l’équipe nîmoise, dirigée par Raphaël Facchini, avec à ses côtés Benjamin Fontaine pour assurer la logistique, est une sorte de « melting pot » composé à la hâte avec des joueurs venus d’horizons divers mais qui ont tous la réelle volonté de relancer si possible le hockey sur glace dans la ville romaine. Ajoutons que le nouveau club de Nîmes a pu également former plusieurs équipes dans le hockey mineur (U11, U13, U15) mais en association avec le club voisin d’Avignon. Quant aux jeunes hockeyeurs U17 élite, n’ayant pas règlementairement le droit de s’associer avec un autre club, ils jouent donc depuis le début de la saison uniquement sous les couleurs d’Avignon.

 

 (c) Photos : Christophe Nogues

 


DTN. À la rencontres des cadres techniques

De gauche à droite : Christine Duchamp, Gérald Guennelon et Annie Valencot

1. Quel est ton Titre à la FFHG ?

Christine Duchamp : Directrice Technique Nationale Adjointe

Gerald Guennelon : Directeur Technique National

Annie Valencot : Cadre Technique National

2. Ta fonction à la FFHG ?

C.D. : Seconder le DTN sur les missions transversales + 2 missions principales : le PES (Parcours d’Excellence Sportive : suivi des Pôles espoirs et du Pôle France) + Manager des U16 et U18 Masculin.

A.V. : Chargée du suivi professionnel et du développement.

G.G. : Proposer, Positionner et Manager la Politique Sportive Fédérale.

3. Ancienneté à la FFHG :

C.D. : Depuis la création (entrée en 2000 à la FFSG)

A.V. : 3 mois

G.G. : Mai 2007

4. Avant ton entrée à la FFHG tu faisais quoi ? 

C.D. : Avant la FFSG j’étais étudiante (STAPS), puis je suis entrée à la FFSG comme professeur de sport, les premières années j’ai travaillé au siège de la fédération tout en poursuivant ma carrière de joueuse à Cergy. (NDLR : Christine a été joueuse, capitaine et entraineur de l’équipe de France féminine).

G.G. : Après ma carrière de joueur et mes études (STAPS) j’ai travaillé pour la FFSG. Mon dernier emploi avant la FFHG était Entraineur Professionnel (Equipe des BDL de Grenoble)

A.V. : Si je me contente de répondre que j’ai été pendant 10 ans DTN Adjointe à la FF de roller sports avec pour missions principales l’ingénierie de développement et de formation, et la conception et le pilotage du plan de féminisation j’ai le sentiment de ne pas parler de la richesse de mon parcours ni de sa diversité. Une carrière qui débute par un contrat avec la DD JS de la Haute Garonne pour être entraineur de la ligue Midi Pyrénées de patinage artistique sur roulettes, clubs et encadrement de classes de sports études. 4 ans après fin du financement d’état, je suis recrutée par la mairie de Toulouse ou progressivement je deviens responsable du secteur « politique de la ville » pour la direction des sports. Une belle école du partenariat et une approche de la diversité des publics et des pratiques. Comme je suis tombée petite dans la marmite du milieu associatif, je continue à entrainer et à accompagner les EDF. Je deviens également juge nationale et internationale et comme il me reste du temps les journées ont 24 heures !, j’occupe des fonctions d’élue au sein de mon club, de la ligue et durant 5 mandats électifs au comité directeur de la FFRS. Mais, comme on revient parait-il toujours à ses premiers amours, le sport et le haut niveau je passe en 2001 le concours interne de professeur de sport en tant que conseiller d’animation sportive, puis en 2009 celui de Conseiller Technique et Pédagogique Supérieur. Mes missions : Coordonnatrice des CTS en Rhône Alpes avec la gestion des Equipes Techniques Régionales. Dans mon portefeuille à la DDJS du Tarn et Garonne : référente handicaps, responsable du CNDS et formatrice pour le CREPS MP. A la DRJS Midi Pyrénées, je suis missionnée sur le secteur emploi formation. En 2007, un poste s’ouvre à la fédération et je deviens DTN A, la boucle est bouclée D’un naturel curieux j’aime la diversité, les grands chantiers et les challenges.

5. Le public avec/pour lequel tu travailles (Ton ou tes interlocuteurs privilégiés au quotidien)

C.D. : Mon interlocuteur privilégié est Gérald (NDLR DTN). Ensuite j’ai beaucoup d’échanges pour préparer les rassemblements des moins de 16 et moins de 18 ans. Donc tout le staff (coach, adjoints, médecin, kiné, responsable matériel, responsables d’équipe U16…et mes homologues étrangers), mais aussi les joueurs et leurs parents. Les permanents de la Fédération, principalement Jocelyne Brouart. Egalement mes collègues cadres techniques, les entraîneurs et coordinateurs des P.E.S, Patricia Costantini de la Commission Féminine…

G.G. : Dans cette fonction centrale, je suis amené à côtoyer un large éventail de personnes. Cadres techniques, personnel permanent de la Fédération, Acteurs des Ligues, Zones, Institutionnels (Ministères, Régions, DRJS) sans oublier les relations indispensables avec les fédérations étrangères.

A.V. : Les sportifs de haut niveau, en lien avec les différents managers et entraineurs des EDF. Un travail partenarial avec les référents régionaux du suivi socioprofessionnel des DRJS CS et la référente nationale du suivi socioprofessionnel de l’INSEP. Les élus des ligues, en lien avec les collègues responsables sur les territoires. Au niveau institutionnel les collègues des DRJS CS en charge des ETR, du CNDS… Le DTN pour la gestion de l’ensemble des dossiers.

6. Ta journée type (tôt, tard , ton cadre de travail, environnement…etc )

C.D. : Je suis plus du soir que du matin ! j’ai la chance de pouvoir organiser mon temps entre Centre Fédéral et domicile (Chambéry). A Cergy, entretiens et réunions. Avec la répétition, j’ai transformé contrainte déplacement (train) en opportunité pour avancer.

G.G. : Ma journée commence tôt et peut finir tard mais toutes mes journées sont passionnantes et stimulantes. Une dose de traitement de problèmes, une de gestion d’urgence, deux de réunions ! Je participe à plusieurs commissions (jeunes, COCD, Equipement) et au Comité Directeur. Sans oublier les rdv avec mes cadres, les instances, les stages et rassemblements des collectifs nationaux. Entre les Aller Retour à Paris, il reste parfois de l’énergie pour du sport en salle mais de préférence en plein air.

A.V. : Pour l’instant je n’en ai pas, je m’immerge dans mon nouvel environnement parfois en apnée. Heureusement que le DTN et les collègues répondent à mes demandes et éclairent ma lanterne ! J’ai commencé à sillonner la France à la rencontre de sportifs, et plus par skype, ou des dirigeants, à concevoir des outils mais je pense qu’il va me falloir un an pour bien connaitre l’environnement et ses acteurs. Ensuite je pourrais probablement avoir une journée type et moins naviguer à vue.

7. Un mois ou une période marquant dans l’année (ex : la rentrée, les play off, les stages d’été, les mondes…)

C.D. : Le Mondial U18 est une période spéciale dans l’année. Entre haute intensité de travail, de stress et satisfactions.

G.G. : J’ai une actualité permanente, si la période estivale est moins dans l’action, la partie préparation prend de plus en plus d’importance. Mon grand temps fort reste le Mondial Masculin.

A.V. : Je ne suis là que depuis 3 mois, c’est difficile de répondre.

8. Une date (ou événement) important dans la vie de la FFHG depuis 2006 :

C.D. : J’ai eu la chance de voir progresser le hockey féminin et d’être au cœur de la création du Pôle à Chambéry (2008). Voir aboutir un projet fondateur en partant d’une page blanche est gratifiant.

G.G. : J’ai eu la chance de participer à des montées de divisons de nos garçons ou de nos filles. Vivre de l’intérieur un succès d’un collectif national est chaque fois une grande récompense. En terme d’intensité, le dernier France-Finlande à Paris (victoire 5-1) égale le Russie-France en ¼ de finale en 2015.

A.V. : Certes j’essaie de ne pas trainer en chemin mais il faut me laisser un peu de temps, j’espère bien pouvoir répondre à cette question dans quelques mois.

9. Ta grande joie personnelle (fierté, satisfaction, victoire, avancée, transformation) depuis que tu es à la FFHG

C.D. : Je dirais qu’elle reste à venir ! La qualification pour les Jeux Olympiques des filles et des garçons pour 2022 !… sinon, la médaille d’or des U18 en avril dernier à Bled (Slovénie), synonyme de montée en Elite. Avec Romain Guibet un complice de longue date pour qui c’était le dernier mondial.

G.G. : La dynamique des cadres techniques conditionne les résultats. Ma grande satisfaction est de travailler avec une équipe motivée avec laquelle j’avance en confiance.

10. Un souvenir du Mondial à Paris (ou à défaut un souvenir en lien avec le hockey sur glace )

C.D. : France-Finlande performance sportive aussi belle qu’inattendue. France-Canada moment de partage inoubliable.

G.G. : La dynamique des cadres techniques conditionne les résultats. Ma grande satisfaction est de travailler avec une équipe motivée avec laquelle j’avance en confiance.

11. Quand tu es sur la glace, que ressens-tu ?

C.D. : Du passé ! Des bons moments partagés !

G.G. : Aujourd’hui c’est trop rare mais j’ai beaucoup de beaux souvenirs en équipe en tant que joueur ou coach parce que plus que tout j’aime transmettre.

A.V. : Ah le plaisir de la glisse et de maitriser ses patins pour faire ce que l’on veut permet d’avoir de vraies sensations ! Mes premiers pas sur glace à la patinoire Charlemagne. Un test d’entrée en section sport études, avec la CTR et des professeurs, réussie mais un cursus financièrement trop onéreux pour ma famille… mais non ce n’était pas en hockey c’était plutôt paillettes et… enfin ne nous fâchons pas !

12. Un Joueur de hockey (ou un Entraineur. français ou pas, actuel ou passé) ?

C.D. : Je n’ai pas particulièrement suivi un joueur ou une joueuse plus jeune, ni un entraîneur en particulier, même si chacun, chacune m’a fait avancer. Je parlerais plus d’un modèle : ma famille. Tous étaient très impliqués dans l’association (le Champsaur Hockey Club) qui faisait vivre la patinoire de mon village, Saint Bonnet à côté de Gap, qui m’a permis de commencer : ma maman qui en était Présidente, mon papa qui dirigeait tous les travaux, mes grands frère et soeurs que je suivais un peu partout. Une époque et un contexte, l’école de la vie : faire la glace au jet d’eau, réparer, poser les barrières, cirer les patins de location, tenir la caisse, … et aussi, jouer au hockey !

G.G : Mon père (NDLR Jean Claude Guennelon 80 sélections en équipe de France et 6 mondiaux entre 1959 et 1973) a qui j’ai pu offrir 2 participations aux JO (lui qui en avait été privé).

A.V. : Je viens tout juste de faire connaissance avec un jeune professeur de sport fraichement émoulue avec une énorme expérience dans le management des séniors et beaucoup d’humanité mais je n’en dirais pas plus…

13. Un message/clin d’œil à un collègue ou à un adhérent (joueur, ex coéquipiers, élus, dirigeant…)

C.D. : Parce que le prochain mondial me conduira en Russie, clin d’oeil en mode « nostalgie » à mes anciennes coéquipières « Assurez-vous d’avoir un passeport en cours de validité ».

G.G. : « Bienvenue dans le management des jeunes, Arnaud Briand »

A.V. : Il n’y a pas que les champignons qui relient les planètes dans un environnement complexe qui prend en compte l’unicité du vivant. C’est hermétique, normal cela ne s’adresse pas à un public de non initié !

14. Ton juron, gros mot ou blasphème favori ?

C.D. : « Pu..rée »

G.G. : « Nom de Dieu »

A.V. : Depuis que j’ai été adopté par des toulousains bon teint « putain con »

15. A la fin de la journée (Ou de la semaine) tu aimes (ex : courir, grimper, lire, dormir…?)

C.D. : Profiter de mes proches ce qui signifie décors de montagnes, ski, randonnée, VTT, ou simple contemplation en terrasse.

G.G. : Prendre du temps en famille est la plus ressourçante des activités.

A.V. : Danser, randonnée, aller voir des spectacles, lire…


Mondial U20. « Tout un club à fond derrière les Bleuets »

Du 10 au 16 décembre 2017, Méribel et Courchevel accueillent le Championnat du Monde U20 Division 1 Groupe A 2018. L’occasion pour le club local, le Hockey Courchevel Méribel Courchevel Pralognan (HCMP), de se mobiliser pour réussir cet événement.

Les Bleuets accompagnés de jeunes Bouquetins du HCMPAllemagne, Autriche, France, Hongrie, Kazakhstan et Lettonie : ces six nations débarquent en Savoie pour disputer le Championnat du Monde U20 Division 1 Groupe A de l’IIHF. Après 1999 et 2008, Méribel et Courchevel organisent pour la troisième fois une compétition de ce genre. « Nous sommes habitués à accueillir de grands événements sportifs. Nos communes nous soutiennent et sont calibrées pour ce type d’organisation. Après le Mondial U20 de hockey sur glace, nous enchainerons d’ailleurs avec la Coupe du Monde de ski alpin féminin. » Ces mots sont signés Vincent Gandy, Président du Hockey Courchevel Méribel Pralognan, enthousiaste à l’idée que la compétition démarre. « C’est l’occasion de bien lancer notre saison de ski et de promouvoir le hockey au sein de notre région ».

Après les premières chutes de neige, les stations démarrent leur activité hivernale et le Mondial U20 va générer de l’animation « bien au-delà du club ». Licenciés, hockeyeurs, parents, moniteurs de ski, salariés des remontées mécaniques ou encore agents municipaux : l’organisation mobilisera environ 120 personnes. Avec 15 matches en 7 jours répartis sur les deux patinoires, une tel effectif est nécessaire pour assurer l’ensemble des services aux équipes : transport, logistique, hébergement et repas pour ne citer que ces domaines.

Ce Championnat du Monde devrait également attirer « un public multiple : à la fois des gens en vacances au ski et qui en profiteront pour voir leur premier match et découvrir la discipline*, mais aussi tous les passionnés de hockey sur glace de la région ». Avec tous ces matches de haut niveau au programme, Vincent Gandy espère voir une belle affluence dans les gradins et vise « des salles combles » pour les rencontres de l’équipe de France. Avec au maximum 1 100 spectateurs à Courchevel et 2 400 à Méribel derrière eux, les jeunes Français devraient donc trouver un environnement favorable durant leur semaine de compétition.

Les Bleuets à l'entrainement avant leur MondialOutre les régulières affiches de Division 1 jouées par les Bouquetins, les deux enceintes ont l’habitude de vibrer au rythme du hockey sur glace. La patinoire olympique de Méribel, après avoir accueilli l’épreuve du hockey sur glace lors des Jeux Olympiques de 1992, a été le théâtre chaque saison de la finale de la Coupe de la Ligue entre 2007 et 2016. L’équipe de France est également venue disputer plusieurs matches de préparation, le dernier en date étant France-Danemark en avril 2015 à Courchevel.

En 1992, c’est sur la glace de Méribel que l’équipe de France a disputé son quart de finale de JO face aux États-Unis (1-4), un moment historique qui restera « gravé dans la tête et le cœur » d’Arnaud Briand, capitaine des Bleus à l’époque. Cette année, l’ancien Tricolore a endossé le rôle de Team Leader pour l’équipe de France U20. Il sera ainsi aux côtés des Bleuets pour leur transmettre son expérience. « Si je peux leur apporter des petites choses que j’ai vécues et les aider dans leur développement, ça sera un très grand bonheur pour moi » déclare-t-il. Même sans les anneaux olympiques, les émotions devraient être encore au rendez-vous du 10 au 16 décembre prochains. « Le club est à fond derrière les Bleuets. On espère qu’une chose, c’est que la France gagne ce tournoi ! » conclut Vincent Gandy.

*infos et billetterie sur https://hockeyu20courchevelmeribel.fr/billetterie-en-ligne. À noter que chaque billet de match donnera droit à un coupon de réduction pour les forfaits de ski et les entrées dans les centres aqualudiques.

(c) Photos : Olivier Brajon / Hockey magazine


IIHF. Philippe Lacarrière honoré

Le vendredi 1er décembre, l’IIHF a dévoilé les personnes qui seront introduites au « Hall of Fame ». Parmi elles figure Philippe Lacarrière, personnage incontournable du hockey sur glace français, qui avait déjà été élu au Temple de la Renommée de la FFHG en 2011. Né en 1938, Philippe Lacarrière a consacré l’essentiel de sa vie au développement et au rayonnement de sa discipline, que ce soit en tant que joueur ou dirigeant. L’ensemble de la FFHG salue cette belle reconnaissance pour l’un des membres de son Bureau Directeur. La cérémonie aura lieu en mai à Copenhague, à la fin du Championnat du Monde Elite 2018.

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Fanseat. Une offre grandissante

Tous les matches de SAXOPRINT Ligue Magnus, la Coupe de France à partir des 16èmes de finale, de nombreuses rencontres des équipes de France, ainsi que les matches de Division 1 depuis octobre 2017 sont diffusés en direct vidéo sur la plateforme de streaming vidéo finlandaise Fanseat. Accessible sur www.fanseat.com ou http://go.fanseat.com selon les compétitions depuis n’importe quel support digital (PC, mobile ou tablette), ce média est disponible au tarif d’un abonnement de 7,99€ par mois, sans engagement et avec une période de 30 jours offerte.

Retrouvez ici l’ensemble de nos programmations TV/web

Arbitrage. 2 désignations au plus haut niveau

Cette saison, deux arbitres français ont été sélectionnés pour officier au plus haut niveau. Il s’agit du Head Geoffrey Barcelo, qui participera du 19 au 29 avril 2018 au Championnat du Monde U18 Elite en Russie à Chelyabinsk et Magnitogorsk, et de la juge de ligne Charlotte Girard, qui arbitrera durant les Jeux Olympiques 2018 de Pyeongchang (Corée du Sud) du 10 au 22 février 2018. Félicitations et bonne chance à nos deux représentants tricolores pour ces beaux challenges à venir !


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CDF. Qui se hissera dans le dernier carré ?

La Coupe de France 2018 nous réserve bien des surprises ! Pour la première fois depuis 2001/2002, trois clubs de Division 1 disputeront les quarts de finale. Pour atteindre le tour suivant, Cholet, Dunkerque et Neuilly-sur-Marne tenteront de créer l’exploit face à des écuries de SAXOPRINT Ligue Magnus, respectivement Gap, Bordeaux et Lyon. Le quatrième ticket pour le dernier carré se jouera entre deux clubs de SLM : le finaliste malheureux de l’an passé et sextuple vainqueur de la compétition, Rouen, se rendra à Chamonix.

Cliquez ici pour suivre les résultats de la Coupe de France

Découvrir. Stage d’été à Vaujany

Comme chaque année, la FFHG organise un stage d’été à Vaujany, du 29 juillet au 3 août 2018 et 5 au 10 août 2018. Ce stage fédéral est réservé aux joueuses âgées de 8 à 17 ans (nées entre 2001 et 2010). La capacité maximale d’accueil est de 60 personnes par stage : réservez vite vos places !

Le formulaire d’inscription est à retourner avant le 1er mars. Pour plus de renseignements, vous pouvez contacter Jocelyne BROUART ([email protected]), assistante à la Direction Technique Nationale de la FFHG.

Cliquez ici pour découvrir la plaquette d’informations

Juridique. Paris sportifs

Attention, l’interdiction de parier sur le hockey sur glace évolue au 1er janvier 2018 !

À compter du 1er janvier 2018, il sera non seulement interdit de parier sur les manifestations et compétitions de hockey sur glace auquel on participe mais plus généralement sur toutes les compétitions de hockey sur glace organisées ou autorisées par la FFHG.

Cette interdiction s’applique directement ou par personne interposée, à l’ensemble des acteurs des compétitions et manifestations sportives.

En outre, sera maintenue l’interdiction, pour ces mêmes acteurs, de communiquer à des tiers des informations privilégiées obtenues à l’occasion de leurs fonctions et qui sont inconnues du public.

Toute violation de ces interdictions entrainera l’application de sanctions disciplinaires en application de la règlementation FFHG. Afin de faire respecter cette interdiction, la FFHG a notamment mis en place, en coopération avec l’ARJEL (autorité de régulation des jeux en ligne) et comme l’y autorise le code du sport (article R. 131-37 et s.), un processus de rapprochement régulier (ou « croisement des fichiers ») entre la liste des parieurs et la liste des personnes interdites de parier.

FFHG. Communiqué prévention et sécurité

Pour limiter les risques d’accident en cas de sortie du palet de l’aire de jeu, la FFHG a récemment mis a dispo des outils pour rappeler quelques mesures simples de prudence à mettre en œuvre.

Quelle que soit la catégorie qui évolue sur la glace, il convient de s’assurer que les personnes qui assistent à un entraînement, un échauffement ou un match, puissent être attentives au déplacement du palet. Ils ne doivent pas stationner ou passer autour de la glace sans regarder le jeu qui s’y déroule. Il faut également être vigilant à la présence des enfants qui sont susceptibles de jouer à l’extérieur de la glace pendant des entrainements d’autres catégories sans porter attention aux palets en circulation. D’une façon générale, les personnes assistant à un entrainement ou à un match de hockey sur glace doivent être positionnées aux endroits prévus pour recevoir le public et pas aux alentours immédiats de l’aire de jeu.

Retrouvez toutes les infos, les annonces sonores et les visuels (affiches et écran géant) à diffuser dans les patinoires sur https://www.hockeyfrance.com/ffhg/la-federation/outils-clubs/prevention-et-securite.


Agenda

EQUIPES DE FRANCE

U20 HOMMES

Championnat du Monde Division 1 Groupe A à Méribel et Courchevel 

  • Dimanche 10 décembre : Autriche – France (18h00 à Courchevel)
  • Lundi 11 décembre : France – Hongrie (19h00 à Méribel)
  • Mercredi 13 décembre : Allemagne – France (19h00 à Courchevel)
  • Jeudi 14 décembre : France – Lettonie (19h00 à Méribel)
  • Samedi 16 décembre : France – Kazakhstan (18h00 à Courchevel)

Cliquez ici pour accéder à la billetterie du Mondial U20 D1A à Méribel-Courchevel

U18 FEMMES

Championnat du Monde Division 1 Groupe B à Krynica (POL)

Equipes participantes : France, Danemark, Pologne, Grande-Bretagne, Chine, Australie

Date : 6 au 12 janvier 2018

Site officiel : http://www.iihf.com/competition/665/


COUPE DE FRANCE 

Au programme des quarts de finale de Coupe de France – Mercredi 20 décembre :

  • Dunkerque (D1) – Bordeaux (SLM) (avancé au mardi 19 décembre)
  • Neuilly-sur-Marne (D1) – Lyon (SLM)
  • Cholet (D1) – Gap (SLM)
  • Chamonix (SLM) – Rouen (SLM)

Tous les matches seront diffusés en direct sur Fanseat.

La finale de la Coupe de France 2018 aura lieu le dimanche 28 janvier 2018 à l’AccorHotels Arena. Réservez dès à présent votre place sur la billetterie officielle en ligne.


CHAMPIONNATS

DERNIRE JOURNEE DES SAISONS REGULIERES

SAXOPRINT Ligue Magnus

Au programme de la 44ème et dernière journée de SAXOPRINT Ligue Magnus – Mardi 20 février 2018 :

  • Mulhouse – Angers
  • Nice – Gap
  • Rouen – Grenoble
  • Épinal – Strasbourg
  • Bordeaux – Chamonix
  • Lyon – Amiens

Cliquez ici pour accéder au calendrier et suivre les résultats

Division 1

Au programme de la 26ème journée de Division 1 – Samedi 3 mars :

  • Nantes – Caen
  • Brest – Neuilly-sur-Marne
  • Cholet – Cergy-Pontoise
  • HCMP – Dunkerque
  • Briançon – Mont Blanc
  • Anglet – La Roche-sur-Yon
  • Tours – Annecy

Cliquez ici pour accéder au calendrier et suivre les résultats

Division 2

Au programme de la 18ème journée de Division 2 – Samedi 10 février :

Groupe A :

  • Amnéville – Meudon
  • Évry-Viry – Wasquehal
  • Strasbourg 2 – Valenciennes
  • Rouen 2 – Châlons

Exempt : Français Volants

Groupe B :

  • Montpellier – Chambéry
  • Roanne – Villard-de-Lans
  • Vaujany – Marseille
  • Valence – Limoges
  • Clermont-Ferrand – Toulouse-Blagnac

Cliquez ici pour accéder au calendrier et suivre les résultats


7

Comme le nombre de matches maximum pour la finale de SAXOPRINT Ligue Magnus, qui sera intégralement diffusée sur la chaine L’Équipe. Découvrez l’ensemble des matches diffusés sur la chaine TV gratuite disponible sur le canal 21 de la TNT en cliquant ici.

100

Le vendredi 10 novembre 2017, à l’occasion du match France-Danemark, disputé dans le cadre du Tournoi des 4 Nations à Miskolc (Hongrie), Morgane Rihet a honoré sa 100ème sélection sous le maillot bleu. Un match symbolique pour l’attaquante tricolore, qui avait en plus été choisie pour exercer le rôle de capitaine. À la fin de la rencontre, elle a été récompensée des mains de Grégory Tarlé, entraineur de l’équipe de France féminine.

1

Le 5 novembre 2016, l’Aren’Ice ouvrait officiellement ses portes au grand public. Situé aux portes de Paris, à Cergy-Pontoise dans le Val d’Oise, le temple de la glace est animé par l’UCPA et héberge le Centre National de Hockey sur Glace. Depuis cette ouverture, 185 000 personnes ont découvert et progressé sur la glace, assisté à des matches de hockey sur glace et ont profité de moments exceptionnels en famille ou entre amis. De nombreux événements organisés par la FFHG ont notamment eu lieu au cours de cette première année : Tournoi Préliminaire de Qualification Olympique féminin, Match des Légendes et match de préparation des Bleus au Mondial Elite France-Suisse. Autant de rendez-vous qui ont marqué le début d’une belle aventure pour le hockey sur glace français, qui a continué cette saison avec le Tournoi EIHC des 4 Nations du 9 au 11 novembre 2017.

20 280

Comme le nombre de « j’aime » pour la page Facebook de la SAXOPRINT Ligue Magnus. Un nouveau cap de franchi sur les réseaux sociaux par les fans du hockey sur glace français. De bon augure pour le futur !

18

Comme le prix d’un billet pour la finale de Coupe de France 2018 au tarif licenciés. Pour bénéficier de cette offre, rapprochez-vous de votre club. Pour toutes les informations sur la billetterie, rendez-vous ici.